Le prolapsus vaginal est une descente de vessie ou d’organes. Cela se traduit fréquemment par des symptômes comme :
Afin de bien comprendre le fonctionnement de la vessie et des sphincters de la patiente, un bilan urodynamique, et parfois un contrôle endoscopique de l’urètre et de la vessie (examen des muqueuses) peuvent être réalisés avant l’intervention.
Le prolapsus vaginal est une descente de vessie ou d’organes. Cela se traduit fréquemment par des symptômes comme :
Afin de bien comprendre le fonctionnement de la vessie et des sphincters de la patiente, un bilan urodynamique, et un contrôle endoscopique de l’urètre et de la vessie (examen des muqueuses) peuvent parfois être réalisés avant l’intervention.
Pour traiter le prolapsus vaginal, une intervention chirurgicale est possible afin de repositionner correctement les organes (la vessie, le vagin, l’utérus et le rectum) pour supprimer les symptômes et la gêne ressentis par la patiente.
L’intervention est réalisée sous anesthésie générale, par voie coelio-chirurgicale (micro-incisions sans ouverture ni section musculaire). Trois instruments chirurgicaux (trocarts) sont mis en place, un pour la caméra commandée et dirigée par un système robotique et 2 pour le passage des instruments.
Afin de corriger la descente d’organes, une bandelette est cousue sur la face antérieure du vagin et fixée en arrière sur le promontoire (partie haute du sacrum). Cette bandelette constitue un « hamac » sur lequel s’appuient les organes. Il est également nécessaire de stabiliser le plancher périnéal postérieur en rapprochant les muscles situés en avant du rectum (par voie vaginale), pour conserver l’équilibre pelvien antéro-postérieur.
Selon les cas, une bandelette sous-urétrale sera placée pour éviter les soucis de continence secondaire. Elle est placée sous l’urètre par voie vaginale.
L’un des gros avantages des techniques coelioscopiques (micro-incisions sans ouverture ni sections musculaires) est de réduire considérablement les douleurs après l’opération. Ainsi la mobilisation et notamment le lever peuvent être effectués sans problème le jour même ou le lendemain. L’hospitalisation est donc habituellement courte, en ambulatoire ou 2-3 jours.
Les activités habituelles peuvent être reprises rapidement grâce à l’absence de « sacrifice » musculaire (comme cela aurait été le cas en cas de chirurgie par une voie classique), en évitant tout de même les activités sportives pendant 2 mois. De même les rapports sexuels devront être évités pendant 3 semaines, du fait des contraintes de la cicatrisation vaginale.
Hospitalisation : 02 28 03 06 09
Consultations : 02 28 03 04 44
1er établissement de santé français mono-disciplinaire spécialisé en urologie.
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